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Une enquête réalisée à la demande de FranceAgrimer indique que le flexitarisme (24 % des français) est plus populaire que le végétarisme (2,2 %). Toutefois, les pratiques réelles des sujets sont souvent éloignées de leurs déclarations.

L’EFSA vient d’adopter un avis favorable à l’utilisation alimentaire de larves de ténébrion meunier (vers de farine) entières ou sous forme de farine. Cette nouvelle source alimentaire est proposée pour l’ensemble de la population adulte à des apports maximaux de 203 mg/kg/jour. 

Longtemps réservés à l'alimentation animale et parents pauvres de la gastronomie et de l'agriculture, les pois se révèlent aujourd’hui comme des alternatives des protéines animales à haut potentiel.

Le microbiote sera la nouvelle opportunité de la nutrition personnalisée. Deux scientifiques, Karine Clément et Amandine Everard expliquent pourquoi, lors de la Journée Benjamin Delessert.

La Fondation Nestlé France lance Nutriplato pour accompagner les familles dans l’élaboration de repas équilibrés, variés 
et adaptés à l’âge des enfants de 4 à 11 ans.

La campagne de prévention « Mars Bleu » est l’occasion de rappeler les facteurs de risque à éviter et les aliments à privilégier pour se protéger du cancer colorectal.
 

Les consommations de fruits et légumes des Français repartent à la hausse selon la dernière enquête du Crédoc. Une tendance qui devrait se poursuivre.
 

Pour faire évoluer nos comportements vers une alimentation plus durable, deux chercheuses présentent leurs solutions : agir sur nos choix et imposer un étiquetage environnemental.  

Depuis 2010, les Français ont changé leurs consommations protéiques selon 4 schémas différents et qui semblent associés à des profils socio-démographiques particuliers.
 

L’activité physique est désormais considérée comme un outil de prévention et de prise en charge des maladies chroniques. L’expertise de l’Inserm explique pourquoi et comment la prescrire.

La sédentarité et l’inactivité en hausse chez les jeunes préoccupent l’Anses, qui craint de graves répercussions sur leur santé. L’agence réclame des mesures ciblant ceux les plus à risque.

De la naissance jusqu’à 3 ans, l’alimentation du nourrisson et de l’enfant en bas âge va beaucoup évoluer.